Onirique et horrifique ?
C’est l’été. Mary vient d’emménager chez sa grand-tante dans le village de Manoir Rouge. Dans la forêt voisine, elle découvre une fleur mystérieuse qui ne fleurit qu’une fois tous les 7 ans. On l’appelle la « fleur de la sorcière ».
Le conte, ici, est très bien manié, tant les divers ressorts y sont bondissants ! Comme dans plusieurs autres exemples de la « Jap’Anim ».
On y trouve les meilleurs ingrédients du genre, agrémentés de quelques trouvailles visuelles assez séduisantes: poétique de la Couleur, jeux répétés des transformations.
Certes le dessin ne me séduit pas follement, je ne suis pas le meilleur client des Studio Ghibli, mais dans cet opus l’histoire remporte mon adhésion sans réticence.
Synopsis senscritique du Film Mary et la fleur de la sorcière
C’est l’été. Mary vient d’emménager chez sa grand-tante dans le village de Manoir Rouge. Dans la forêt voisine, elle découvre une fleur mystérieuse qui ne fleurit qu’une fois tous les 7 ans. On l’appelle la fleur de la sorcière. Pour une nuit seulement, grâce à la fleur, Mary possédera des pouvoirs magiques et pourra entrer à Endor, l’école la plus renommée dans le monde de la magie, qui s’élève au-dessus du ciel, au-delà des nuages.