Nos Petites Critiques de Films

A la merveille

20416283Terrence Malick 2013

Expression corporelle

Neil et Marina se rencontrent en France et leur passion se ballade, entre autres au Mont Saint Michel « A la Merveille »   (totalement désert pour l’occasion, on y croit moyen).

Le cœur de Neil balance entre Marina (Olga Kurylenko) et Jane (Rachel McAdams).  Les deux actrices dansent et envahissent  l’écran. Ben Affleck est plus discret, il n’a pas plus de deux répliques mais son allure est bienveillante. Barden est un roc qui traverse le film avec ses doutes, mais finalement  ce sont les quidams qui sont le plus  proche de la réalité.

Le film est dans le mouvement perpétuel des émotions. Les mots restent en second plan.
Terence Malick favorise les gestes et les actes. Sans explication.  Je me souviens de « Ballade sauvage » où la passion était à l’état brut, mais où le récit était semblable, quasi sans parole.

Même si l’image est sublime, le film est très long et totalement nébuleux.

 

Résumé Allocine

Même s’ils se sont connus sur le tard, la passion qu’ont vécue Neil et Marina à la Merveille – Le Mont-Saint-Michel – efface les années perdues. Neil est certain d’avoir trouvé la femme de sa vie. Belle, pleine d’humour, originaire d’Ukraine, Marina est divorcée et mère d’une fillette de 10 ans, Tatiana.
Désormais, le couple est installé dans l’Oklahoma. Leur relation s’est fragilisée : Marina se sent piégée. Dans cette petite communauté américaine, elle cherche conseil auprès d’un autre expatrié, un prêtre catholique nommé Quintana. L’homme a ses propres problèmes : il doute de sa vocation…
Marina décide de retourner en France avec sa fille. Neil se console avec Jane, une ancienne amie à laquelle il s’attache de plus en plus. Lorsqu’il apprend que rien ne va plus pour Marina, il se retrouve écartelé entre les deux femmes de sa vie. Le père Quintana continue à lutter pour retrouver la foi. Face à deux formes d’amour bien différentes, les deux hommes sont confrontés aux mêmes questions.